Un peu comme dans un cauchemard on se déplace à pas de fourmi, la pluie rend la cellule comme une étuve puisqu’elle est fermée, mais comme tout cauchemard il doit bien y avoir une fin.
A quand l’arrivée ? Cela parait du lointain, très lointain, mais on y arrivera ! Promi ! Alors pour l’instant on en bave comme des galériens, jours et nuits on rame pour enfin trouver ce fameux vent portant qui n’arrive jamais. Si quelqu’un a une conbine avec Eole : qu’il nous le fasse savoir. Mademoiselle « L' » est toujours là, heureusement sinon avec le gris et l’humidité de partout même la tête se ramolie…