De l’ombre ou de la lumière…

8 février 2010

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La journée dominicale fut douce, ensoleillée et partagée avec ma « Vrai », bref un beau dimanche d’hiver plein de lumière.
Muni de nos sacs à dos nous sommes allés retrouver la plage secrète où il est bon s’aimer, rien de transcendant juste une plage, un peu la nôtre, pas du tout accessible par la route, une bonne heure de marche sur un sentier pas du tout balisé.
La houle d’hiver fait son ménage et sans artifice nous partons à nos rêveries, Véro s’offre un massage de jambe dans les rouleaux vivifiants quant à moi je m’active à allumer un feu avec le bois déversé sur la rive par les coups de vents successifs…
En fin de soirée de retour sur le Cabochard la radio passe cette chanson de « Grand Corps Malade » et Calogero de l’Ombre et la Lumière…
Ma Vrai me sourit et je comprends que cette ballade aurait put être écrite aussi pour moi, voilà ces paroles :

Eté 1868, quelque part dans le Grand Ouest
Il a sauté sur son cheval pour disparaître en un geste
La porte du saloon claque encore, dehors le vent fouette la poussière
Lui il galope vers son sort sans jamais regarder derrière
Est-ce qu’il cherche ou est-ce qu’il fuit, est-il sûr ou incertain
Est-ce qu’il tente de rattraper ou d’échapper à son destin
A quoi ressemble son avenir, une évidence ou un mystère
Il se fabrique un empire, il est fait d’ombre ou de lumière
De l’ombre ou de la lumière
Lequel des deux nous éclaire
Je marche vers le soleil
Dans les couleurs de l’hiver
De l’ombre ou de la lumière
Depuis le temps que j’espère
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l’univers
C’est l’hiver en 2008, quelque part à Paris
J’ai démarré la voiture pour échapper à ce temps pourri
La porte du café tremble encore, dehors la pluie fouette le bitume
A chacun sa ruée vers l’or, j’accélère à travers la brume
Puisque mon temps est limité, mes choix doivent être à la hauteur
C’est une course contre la montre ou une course contre la peur
C’est toujours la même chevauchée, on vise la lueur droit devant
Même si cette quête est insensée, je cours pour me sentir vivant
De l’ombre ou de la lumière
Lequel des deux nous éclaire
On marche vers le soleil
Dans les couleurs de l’hiver
De l’ombre ou de la lumière
Depuis le temps que j’espère
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l’univers
On court à travers les siècles, mais c’est toujours la même chevauchée
As-tu peur que la route s’achève mais cette course est insensée
As-tu mis un nom sur toutes les lèvres, les lèvres
De l’ombre ou de la lumière
Des astres qui nous éclairent
On marche vers le soleil
Dans les couleurs de l’hiver
De l’ombre ou de la lumière
Depuis le temps qu’on espère
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l’univers
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l’univers

Une histoire Corsée…

5 février 2010

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Jo Zef  présente sa collection personnel d’œil de st Lucie…

Régulièrement je vous amène dans des histoires et légendes du grand nord mais bien sur la Corse en a sa part aussi dont celle de l’œil de sainte Lucie…

Dans notre dernière balade au Québec j’avais amené une petite bourse de peau qui renfermait ces porte-bonheurs et au fil du voyage suivant la vibration avec les gens je remettais ce talisman insulaire.

Voici la légende:

C’est au IVème siècle que naquit la légende de Ste Lucie.
Lucia, une jeune fille de la noblesse à force de prières répétées à la Vierge Marie, obtint la guérison miraculeuse de sa mère atteinte d’une maladie incurable.

Vouant un culte et une dévotion sans limite à la vierge, Lucia s’arracha les yeux et les jeta à la mer pour ne pas être détournée de sa foi et éloigner ses prétendants.

Toute entière tournée vers la prière, Lucia réalisa de nombreux miracles.
En réponse à cette dévotion, la Sainte Vierge, lui rendit la vue et lui donna des yeux plus beaux et plus lumineux « occhji belli e lucentti ».

L’opercule du coquillage nommé le « Turbo Rugueux » que l’on trouve sur les rivages de la corse symbolise les yeux de Ste Lucie. En porter un, éloigne le mauvais œil et favorise la chance.

Proverbe Corse :

U mondu è fattu à scala: à chi cólla e à chi fala.
le monde est à l’image d’un escalier: les uns (le) montent, d’autres le descendent

Le stage de plongée Bout de vie 2010…

28 janvier 2010

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Valentin en haut de gauche à droite Stéphanie, Neeta et Sandra bien sur Jo Zef  toujours dans le coup!!! » En lire plus:Le stage de plongée Bout de vie 2010…

L’Atlantique à la rame comme si vous y étiez !

12 janvier 2010

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Je crois que vous vous souvenez tous de la traversée à la rame que j’avais effectué avec Dume en 2005 mais le temps passe et plein de choses se sont réalisées depuis. Entre autre la modernisation de l’informatique…

Pendant notre « ramage » le groupe radio France nous contactait régulièrement et ma Vrai avait capté quelques interviews sur cassette audio, Nicolas le créateur du nouveau site est le sorcier d’Internet et voila rien que pour vous des rencontres avec des rameurs pas toujours en grande forme. Je puis vous dire que même après 4 ans et pas mal « d’eau qui a glissé sous la quille » je suis toujours ému par nos propos. Un conseil prenez une pastille pour le mal de mer.

Bienvenue à bord

Mais ce n’est pas fini un film autre que celui de Thalassa a été réalisé par Jean-Charles Marsily et en vente pour l’association mais pour ceux qui ne l’auraient pas vu, je vous propose d’embarquer pendant 54 jours:

Attention Jo Zef était déjà à bord et la mascotte plus vous ça va faire du monde !!!

Welcome on board titre du film: Al di la di u mare

Bon pour conclure la « ramure océanique » j’ai un pote que vous connaissez peut être déjà qui détient tout les records possibles et inimaginables de traversée en solitaire et qui va partir au printemps pour essayer d’exploser le record de la traversée à la rame de l’océan indien.

On passe des heures au téléphone à  jacasser comme des pipelettes ; on se livre, on se confie, on partage quelque chose de plus fort que tout, le désir de « liberté » à l’extrême … Nous sommes deux excessifs mais la routine, le même toit, le même horizon non merci ce n’est pas pour nous.

Ah oui j’ai oublié de vous le présenter Emmanuel Coindre.

Dis moi Jo Zef  tu sembles palot ? Le mal de mer !!!

A pluche

Ecole primaire de Figari…

11 janvier 2010

P1110288A peine arrivé je reprends mon « baton de pélerin » pour rencontrer les futurs adultes, ce sont les primaires de l’école de Figari. Le support cette fois ci sera la croisière en Antarctique de début 2008. Quatre jeunes adhérents avaient participé à une aventure extraordinaire avec la rencontre de la faune et la flore australe. Dans l’équipe il y avait Stéphanie originaire de Figari qui avait suivi toute sa petite scolarité dans cet établissement malgré son bout de vie en moins !

Le diaporama permet aux jeunes insulaires de découvrir un monde nouveau, bien sur s’en suit une série de questions- réponses riche en diversité. Mais la question du handicap est détournée et j’essaie de démontrer que la différence peut ne pas être gênante

Avec humour et tact une petite graine a été plantée.

Peut être donnera-t-elle un bourgeon ?

Une montagne ne se gravit qu’un pas après l’autre

Jo Zef  bien sur était sur le coup.

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Même pas la place pour mettre sa serviette de bain !?!?

A pluche

Survie à Pianottoli?!?

8 janvier 2010

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Après un long et fatiguant retour me voilà finalement en Corse, je sais qu’une succession de violents coups de vent ont ébranlé la cote ouest et que les dégâts sont très importants.
Le Cabochard est bien surveillé et les risques minimes, mais j’ai toujours la crainte de le retrouver après ces jours d’absences.
Il n’y a plus de lumière sur les pontons et je me doute que le courant a sauté et plutôt que de fouiller dans mon sac pour trouver ma lampe frontale je me la joue « loup dans la nuit »!

Je devine dans ce soir bien sombre que les pontons ont été malmenés, une petite angoisse me monte et si mon Cabochard était abîmé ?
Plutôt que de me concentrer sur les planchons arrachés j’essaie de deviner l’état de mon vieux bateau, je saute de planche en planche juste au moment où une cède et sans grâce je m’enfonce doucement mais surement dans une eau glaciale, sur moi mon sac à dos avec portable, pc et surtout Jo Zef !

Comme un chat je me raccroche sur un moignon de ponton et évitera la catastrophe, juste les jambes jusqu’au tronc ont été baptisées par la méditerranée !!!
La mascotte a failli se faire un bain de minuit…
Finalement je rejoins le Cabochard qui se porte super bien, pas la moindre blessure, mais le fait qu’il n’y ait plus de courant sur le port il n’y a pas de chauffage à bord et la température est de 8°.
Ouais Jo Zef on est encore à « Caillande » !
Finalement vers les deux heures du matin je suis dans ma bannette à greloter !!!
L’entrainement du Yukon est parti sur les chapeaux de roue…

Ps: Aujourd’hui la mascotte a le nez qui coule je crois qu’elle a pris « un gros rhube !!! »

A pluche !

Wawawoom

7 décembre 2009

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Derrière ce nouveau Bout de vie se cache le webmaster: Nicolas Payrouse à la tête de la société de création de site: Wawawoom
Mais tout a une histoire et comme souvent pour les « Cabochard’s stories » tout part des îles Lavezzi.
Il y a au moins 20 ans l’été les îles étaient encore « humaines » et dans la crique des Lazzarines pendant la période estivale se formait le « village ». Chacun avait un bateau de caractère et aucun ne venait pour la même raison mais ce qui nous unissait c’était l’amour des Bouches de Bonifacio. Le Cabochard était le chercheur de « trésor » et un peu sur l’épave de la Sémillante et un peu dans mes coins secrets, je fouillais. Muni d’une grosse barre à mine je déplaçais sous l’eau des blocs de granit qui cachaient les fameuses pièces en argent de 5 francs du malheureux capitaine Jugan qui fut comme tout son équipage englouti dans l’un des plus grand naufrages de Méditerranée en 1855. Mais voilà à jouer au terrassier sous marin, je me bloquais le dos régulièrement, mais à tout problème sa solution. Le « Christina » était au mouillage et Jean-Luc l’armateur du joli voilier était ostéopathe, ici c’était « l’osologue », en deux tours de mains, il dénouait mon tour de rein, c’était un tour de magie !
Mais il n’était pas seul, à son bord 3 gamins jouaient les rôles de matelots, le grand Fabrice, le petit Luc et le moyen Nicolas. Et oui le « petit Nicolas » des Lavezzi…
20 ans passe et on se perd de vue plus ou moins, l’été 2008 je vois une annexe qui s’approche du Cabochard dans sa nouvelle cache estivale, « aie des touristes qui viennent m’ennuyer » je pense dans ma tête de sauvage ! Mais non c’est l’armateur du Christina qui m’a débusqué, je suis invité à bord où m’attend un couple ? Et oui le petit Nicolas est devenu GRAND et il me présente son épouse Déborah !!! Aie ça fait mal de vieillir d’un coup comme ça !
Et voilà de fil en aiguille il visite le site de Bout de vie et l’histoire est bouclée…
Mais ce qui est encore plus incroyable c’est qu’au « village » des Lavezzi nous avions souvent la visite de la vedette de la gendarmerie maritime qui en plus de leur boulot de contrôle des Bouches nous servaient de livreur de produits frais. A son bord un certain Yves le père de Véro la webmaster de Bout de vie celle qui jusqu’à présent a su me former en cours Internet et animer le site.
Coïncidence quand tu nous tiens…
Mais non Jo Zef t’étais pas encore né !
Ouais comme l’escalope !!! Pané !!!!!!!!!!!!!!!!
A pluche

Le premier livre de Teddy Seguin…

2 décembre 2009

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Il y a déjà 7 ans Teddy Seguin découvrait sur un magazine Corse un gars « abimé » qui plongait en Corse du sud. Le premier stage Bout de vie voyait naissance, appareil photo au poing aussi bien sous que dessus la mer il devait suivre la saga Frank Bruno.

Des anecdotes j’en ai plein mais je vous en ai sélectionné quelques unes.

Dans mes balades hivernale il voulait se joindre à moi pour me suivre en montagne mais l’équipement alpin lui faisait défaut et voilà mon reporter en cirée de haute mer qui pointe son objectif, à plus de 2300 mts d’altitude Jo Zef remarquait une sacrée odeur de morue Baltique!

A l’occasion de mes match avec la star team il se transforme de reporter en paparazzi, alors que le prince Albert II et Michael Schumacher viennent à ma rencontre une bonne centaine de photographe se bousculent et éjecte sans tact mon pauvre Teddy et là je sens dans son regard un grand moment de solitude.

Quelques jours de notre départ de la Goméra il était là pour immortaliser cette première mondiale mais voilà le pantalon le dérange et préfère être en paréo, je pense que les vieux Canariens doivent encore s ‘en souvenir.

A notre arrivé à Antigua la mer est démontée avec du vent à une bonne quarantaine de nœuds, nous sommes vraiment malmenés et le voilier où il a pris bord n’ai pas épargné, il doit se rendre à la proue et malencontreusement son genou heurte violemment le bastingage, nous sommes à quelques encablures en ne pouvant que constater la violence de la chute et là nous sentons dans ses yeux une réflexion simple mais logique: « Ça fait 53 jours qu’ils souffrent alors je sers les dents et je fais des photos »

En Argentine l’altitude ne l’a pas épargné et pendant 10 jours il aura un mal de tête effroyable mais têtu comme un mule Corse il ne veut pas abandonner, j’essaie de le résonner mais rien n’a y faire, au camp 1 à 5700 mts je le vois pleurer comme un madeleine mais il ne cède toujours pas, je partagerais ma tente avec lui qui pour limiter le poids est microscopique et dans une intimité extrême nous passerons une nuit blanche avant la tentative du sommet, dans un effort hors norme il arrivera sur un col à 6500 mts d’altitude.

Je pourrais continuer longtemps sur «Tintin reporter » comme il me plait de le nommer…

Il vient de sortir son premier bouquin sur la grande pêche alors si vous avez envie de partager un peu d’eau salées je vous recommande

« À VIRER ! LA GRANDE PECHE AUJOURD’HUI » aux éditions Pascal Galodé
Céline Ferrier et Teddy Seguin, Pascal Galodé éditeurs, 2009, 30 €.

A bord de la Grande Hermine, l’un des deux derniers navires armés pour la grande-pêche, Céline Ferrier, qui en fut
la première et la seule femme officier de marine marchande et Teddy Seguin, photographe, qui a réalisé deux campagnes
à bord de ce bateau, nous racontent le quotidien de ceux qui aujourd’hui encore vivent dans les traces des Terreneuvas
d’autrefois…
Dans la seconde partie de cet ouvrage, ils sont allés à la rencontre des habitants de Saint-Pierre-et-Miquelon. ils nous
montrent comment aujourd’hui encore, ces hommes et femmes qui vivent sur ces rochers
d’outre-Atlantique, sont également les héritiers du monde de la grande pêche en déclin, en voie de disparition même temps…

L’article sur le blog de Teddy Seguin

Eric Duliére dit Dudu…

16 novembre 2009

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Si vous ne connaissez pas encore Eric Duliére je crois que je me dois de vous le présenter.

Je n’ai pas envie de vous parler du journaliste et grand photographe de presse qui n’est que son statut professionnel mais du bonhomme passionné qui est surtout un grand et vrai ami. Je n’en ai vraiment pas des tonnes et je suis fier de notre amour fraternel.

Dans mes Frères choisis je vous ai déjà présentés : Dume, Bixente, Niko mais il manquait Dudu !

On avait un peu plus de 20 ans et tous les deux dans nos coins on fouillait les mers à la recherche de trésors engloutis !

Le hasard, qui je vous le rappelle n’existe pas ; nous a fait nous rencontrer…

Des centaines de plongées en Méditerranée, des découvertes incroyables mais surtout une amitié en acier trempé.

25 ans sont déjà passés et voilà que le « Dudu » fête son demi siècle.

Quand on est ensemble plus rien ne compte, deux gosses qui se retrouvent, nos Véro et oui même les noms de nos compagnes sont identiques d’ailleurs , sourient à nous voir complices ?

Comme à l’école elles viennent nous séparer quelques instants pour que les autres puissent aussi en profiter mais l’aimant fait son boulot et nous voilà de nouveau collés à papoter de nos vies passions.

Des anecdotes nous en avons des centaines mais une des plus incroyables est peut être celle-ci :

Nous avions à l’époque la rade de Villefranche sur mer comme zone de fouille, tous les weekends, jours fériés, tempête ou pas nous fouillons la vase !

Des centaines de trouvailles : des assiettes, des bols, du bronze, des montres à gousset et surtout des « tonnes » de pipe.

Un jour parmi mes découvertes je faisais voir à Éric une pipe qui représentait la tête d’un indien mais hélas il lui manquait un morceau. Mon « Frère de fouille » si je puis dire resta interloqué et me la demanda ? Il était impensable de ramener un objet qui ne fut pas trouvé par nos soins. Je compris sa demande. Deux ans auparavant il avait trouvé le bout manquant et l’avait gardé. Les deux morceaux découverts ne formaient plus qu’une seule piéce !

Mais ce n’est pas fini, en plein hiver au milieu des bouches de Bonifacio alors que je prospectai dans une eau froide et sombre je vis dans le sable une chose non naturelle qui dépassait. Les concrétions l’avaient complètement enveloppé, par réflexe je la mettais dans mon panier en me disant que j’aurai bien le temps à la surface de savoir plus précisément quel trésor j’avais découvert !

A mon énorme surprise l’objet se dévoilait, il s’agissait d’un parachute de plongeur pouvant servir à relever des poids du fond vers la surface. L’état de la concrétion sur ma découverte me faisait comprendre que la perte était ancienne et à ma très très grande surprise j’arrivais à peine à lire le nom du propriétaire : Eric Duliére !!!

Je trouve ces deux anecdotes significatives de notre complicité.

Bien sûr pour les tordus de la cervelle sachez que tous ces objets sont régulièrement exposés dans des musées sur la côte d’azur et non pas dans des vitrines privées ou encore moins vendues à des collectionneurs privés. Visitez le site de son club d’archéologie sous marine.
http://www.clubanao.org/rade.php

Voilà un bout de vie de plus dévoilé de mon beau Dudu.

Joyeux anniversaire ma poule !

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Vis, vibre et reviens…

12 novembre 2009

025Plusieurs fois par semaine je pars en mer avec mon kayak histoire d’apprendre pas mal de chose : le physique du bonhomme, les techniques de pagaiement, les approches des berges avec l’echouement de l’embarcation, allumer un feu en toute situation, disposition du matos à bord, ma manière de pensée en endurance et depuis peu le maniement d’un cerf volant qui pourrait me tracter..

Mais ce matin avant mon départ ma « Vrai » est là, juste avant de partir au boulot, je lui tend un feutre et lui demande de m’écrire un mot sur la proue histoire que je l’ai sous les yeux.

Vis, vibre et reviens…

Que dire? Rien ! Sinon que j’ai beaucoup de chance de l’avoir rencontrée.

Depuis le week end dernier j’ai appris quelques ficelles sur le maniement de mon blog et de la vidéo et du coup vous allez pouvoir profiter de temps à autre d’un peu d’action derrière votre écran.

En direct de TV CABOCHARD emission réalisée par la mascotte Jo Zef !

PS: On est pas sortie de l’auberge avec l’autre qui se prend pour un reporter !

A pluche