Ce qui me fascine, passe souvent pour futilité et vice et versa, mais comme vous êtes là je me lance dans ma cabo-philo
A mes yeux pas une ville au monde ne m’inspire. D’Ajaccio à New-York, de Monaco à Buenos-Aires, de Trivandrum à Anchorage, les fourmilières m’attristent, les musées, même limonade. Le créateur n’en est que l’homme, poussière éphémère en quête de laisser sa petite trace. Pour produire cette « œuvre » il a dû détruire, raser, exterminer la nature pour implanter son « machin » et surtout signer par son nom au bas de la création. Ouf, je vous vois bondir ! Je ne juge pas j’essaie de raisonner en vous le faisant partager. Oui je sais, l’homme ne vit plus en grotte et s’est redressé depuis un moment, sa trace de pas, ne comporte plus d’orteils, mais pour beaucoup, des semelles Adidas, les babouches qui tracent !
Devant la chapelle Sixtine à Rome je voyais des milliers de gens en extase !!! Je me raisonnais et rentrais voir les tags de « Michel l’Ange », entre vous et moi j’ai dû résister 5’. Pourquoi ? Dans ma tête de tordu, je pensais à toutes ces collines qui devaient être recouvertes de forêt qui ont été rasées pour construire Rome et ses monuments, coffres forts de quelques tagueurs. Quand je suis à Paris je rêve du temps où il n’y avait rien. La Seine sauvage où seul les castors et les canards la peuplaient.
Devant Notre-Dame à Paris je me suis isolé et j’ai essayé de décortiquer le pourquoi de tellement d’efforts pour bâtir cette batisse. Un lieu de culte pour se réunir et prier. OK ! N’y a-t-il pas derrière tout ça un despotisme envers les autres qui ne croient pas comme nous, qui ne prient pas comme nous ? Les cardinaux qui ont fait édifier ces pierres ne se sont ils pas rachetés une bonne conscience avec une envie de domination. Les compagnons suivaient les ordres des mécènes et les esclaves subissaient les directives dans la peur, de l’enfer promis aux dissidents. A Ankara j’ai vu l’une des plus grandes mosquées du monde et j’y ai senti la même vibration.
J’ai une fascination pour les peuples nomades, en un clin d’œil le camp est levé et ils changent de décor et ils suivent les animaux, les saisons.
La tolérance, toujours la tolérance, oui je sais et j’essaie de l’appliquer, mais vous qui venez régulièrement sur ce blog vous devez vous sentir concerné par mes pensées, alors je continue. Nous sommes de plus en plus dans un monde d’apparence et « l’art urbain » est une manière d’étaler son surplus. La tour Eiffel fût construite pourquoi ? Et oui le Cabochard qui pense à contre courant, ça vous étonne ?
Quand je suis en mer, dans une vraie forêt sauvage ou sur un fleuve oublié, je suis fasciné par la beauté de ces créations. La muraille de Chine a vu le jour par des millions d’ouvriers en quelques dizaines d’années. Un fleuve, c’est des siècles et des milliards d’événements. On le détourne, on le maitrise avec des barrages, on le ceinture de ponts et on déverse dans son lit les pires saloperies. Mais attention quel bonheur de voir des baies vitrées de ce musée climatisé s’écouler le fleuve !!! Ok, j’arrête !
Bon je ne vais pas faire de la philosophie à trois tickets de métro mais au moins quand vous allez me croiser en ville vous saurez qu’au fond de moi je suis présent physiquement mais que l’esprit lui est bien loin dans la Nature.
Je n’aurais pas assez de plusieurs tomes pour vous décrire les chefs d’œuvres que j’ai croisés dans ma vie de nomade errant, j’en suis sur vous aussi.
Une fleur qui surgit de la neige pour nous offrir que quelques pétales sans engrais.
Un glacier qui pendant des siècles a taillé le basalte pour sculpter une moraine sans dynamite.
Un lac qui à élu domicile entre deux monstres de granit sans toupie à béton.
Un galet poli en forme de cœur trouvé sur la berge sans disqueuse.
Un chêne millénaire qui a su s’adapter aux rigueurs de milliers d’hivers loin des tabernacles des églises.
Cette goutte d’eau immortelle, qui devient pluie, ru, ruisseau, rivière, fleuve, mer, océan, nuage, glace, pluie…sans récipient plastique.
Un musée bio pour utiliser les mots à la mode, une architecture éblouissante et surtout d’une humilité respectueuse…
Je vous laisse raisonner de votre côté. D’un clic vous pouvez supprimer le blog de ce casse-pied rêveur.
« C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas. » Victor Hugo
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Qu’est ce que tu fais sur internet Frank ? qu’est ce qui te pousse, à partager avec nous toutes ces choses en consommant de l’énergie électrique et des ondes malfaisantes, pour faire voyager ton discours à travers le monde ? Qu’est ce qui te pousse à faire de la pub pour une marque qui nous pousse à la consommation ? Qu’est ce qui te pousse à écrire un livre qui va détruire (comme le premier) des arbres ? Je vais te dire quoi ; je vais te donner une mauvaise nouvelle : toi aussi tu es un homme. Toi aussi tu es comme eux, comme nous, comme moi ; et tu n’y peux rien, et c’est ce qui fait ta richesse ; toi aussi tu construis ta chapelle sixtine, toi aussi tu fais de grandes choses, ce que tu fais est aussi saisi par d’autre pour le transformer, le salir, le changer, le sublimer. Comme chacun d’entre nous tu partages des maux et des mots comme tu aime à le dire, mais a peine nous les as-tu confiés qu’ils ne t’appartiennent plus chacun se les approprie pour en faire ce que bon lui semble. Parfois ils nourrissent parfois ils exaspèrent parfois les deux. Cette richesse de la nature que tu cheri, regarde bien, elle est en chacun de nous, parfois perdue sous des strates de conventions, parfois apparente. Comme le volcan nous faisons partie de cette terre, nous pouvons l’illuminer, ou la bruler, nous pouvons créer de la beauté ou du malheur, comme tout ce qui vit, nous ne sommes que ce nous devons être, toi, moi et nous tous, c’est magique et sans aucune importance. Tu as une flamme, éclaire nous, réchauffe nous, mais sache aussi écouter d’autres flammes, si l’art, l’architecture, la musique etc ont cette présence c’est qu’elle nourrissent en nous ce que nous avons d’humain ; ce que tu veux nous passer, l’emotion que tu ressens au plus profond de toi, d’autres ont choisi d’autres voies pour nous le transmettre et c’est bien ; aussi.
Je ne suis pas amputé, je fais partie de « bout de vie », et je lis avec attention ce que tu nous dis : « Réunissant amputés et non-amputés, la même foi anime ses adhérents : l’amour de la vie. Notre association n’a pas vocation à regrouper exclusivement des amputés !!! Bien au contraire !!! » dans cet espace de liberté et de partage, je revendique le droit d’être différent de toi, de t’admirer et de te critiquer.
Tres amicalement
Le rabat joie
Il n’a pas tort le monsieur, parfois tu es dur à suivre. Bisous MAMAN
Pour répondre.
Oui maman je suis dur. La vie n’est pas simple et tu le sais. Je la croque comme si je devais mourir demain ou après demain
Jean-Luc l’artisan t-shirteur depuis un siècle.
Qu’est ce que tu fais sur internet Frank ?
Les paradoxes de l’homme et tout ses non sens.
Qu’est ce qui te pousse, à partager avec nous toutes ces choses en consommant de l’énergie électrique et des ondes malfaisantes, pour faire voyager ton discours à travers le monde ?
L’envie de mettre mon grain de sable, car certains m’ont mis des coups de pieds au cul pour faire ce que je suis aujourd’hui, un mec qui a deux yeux, une guibole et un cerveau et qui s’en sert.
Qu’est ce qui te pousse à faire de la pub pour une marque qui nous pousse à la consommation ?
Ma fainéantise et mon arrogance. Grâce à cela je peux partir dans mes rêves du Grand Nord et le faire partager de temps à autre.
. Qu’est ce qui te pousse à écrire un livre qui va détruire (comme le premier) des arbres ?
Ma vanité de vouloir comme l’artiste qui signe un tableau laisser ma trace. Mais c’est en lisant des Moteissier et des De Monfreid que je suis parti.
Je vais te dire quoi ; je vais te donner une mauvaise nouvelle : toi aussi tu es un homme.
Je le sais et surtout je sais que je ne suis qu’une poussière est-ce que l’homme s’en souvient???
Toi aussi tu es comme eux, comme nous, comme moi ; et tu n’y peux rien, et c’est ce qui fait ta richesse ; toi aussi tu construis ta chapelle sixtine, toi aussi tu fais de grandes choses, ce que tu fais est aussi saisi par d’autre pour le transformer, le salir, le changer, le sublimer. Comme chacun d’entre nous tu partages des maux et des mots comme tu aime à le dire, mais a peine nous les as-tu confiés qu’ils ne t’appartiennent plus chacun se les approprie pour en faire ce que bon lui semble. Parfois ils nourrissent parfois ils exaspèrent parfois les deux. Cette richesse de la nature que tu chéri, regarde bien, elle est en chacun de nous, parfois perdue sous des strates de conventions, parfois apparente.
Ça c’est toi qui le dit mais à force de croiser le monde j’ai fait un constat, mes frères et sœurs sont absorber par un tourbillon qui les aveugles.
Comme le volcan nous faisons partie de cette terre, nous pouvons l’illuminer, ou la bruler, nous pouvons créer de la beauté ou du malheur, comme tout ce qui vit, nous ne sommes que ce nous devons être, toi, moi et nous tous, c’est magique et sans aucune importance.
Bien sur et c’est pour cela que je communique car j’ai eu la chance de rencontrer des gens qui m’ont bousculé et m’ont ouvert les yeux.
Tu as une flamme,
Oui comme tout le monde et je le sais ça c’est la différence.
Éclaire nous, réchauffe nous, mais sache aussi écouter d’autres flammes, si l’art, l’architecture, la musique etc ont cette présence c’est qu’elle nourrissent en nous ce que nous avons d’humain.
L’humain, lequel: celui qui tue parce que tu n’es pas de la même couleur, celui qui te dis que tu peux pas parce qu’il te manque une jambe, celui qui viole les petits enfants et qui après se signe devant un mec sur une croix en plastique made in Taïwan!
Ce que tu veux nous passer, l’émotion que tu ressens au plus profond de toi, d’autres ont choisi d’autres voies pour nous le transmettre et c’est bien ; aussi.
Chacun sa route mais je signe et je persiste, ce que fait l’homme n’est que foutaise et ce n’est rien en rapport à ce que la nature nous a toujours donné. Un tableau, un opéra, un tas de pierre ne me fait pas vibrer et je fuis cela. Je me surprends à être ému devant un chant de coyote sur le bord d’un fleuve, à vibrer quand une baleine avec son petit viennent frôler mes avirons.
Je ne suis pas amputé, je fais partie de « bout de vie », et je lis avec attention ce que tu nous dis : « Réunissant amputés et non-amputés, la même foi anime ses adhérents : l’amour de la vie. Notre association n’a pas vocation à regrouper exclusivement des amputés !!! Bien au contraire !!! » dans cet espace de liberté et de partage, je revendique le droit d’être différent de toi, de t’admirer et de te critiquer.
Bout de vie parlons en. La solidarité des amputés, je suis mort de rire, tous ces anciens valides qui sont toujours dans leur égoïsme et quand je lance des appels à la solidarité quasiment personne ne bouge. Quelle émotion quand je les ramène à l’aéroport après une semaine de plongée et qu’ils me serrent dans leurs bras, émus en me promettant de ne jamais oublier la famille Bout de vie. Et qu’ils disparaissent…
Par contre pour être l’ami de Frank et l’invité de droite et de gauche parce que c’est le pôte de Lizarazu et autres, là on sait où me trouver.
Heureusement que dans tout ça il y en a qui sont là, fidèles, qui bougent, qui ont compris le message. Je ne suis pas un intellectuel de la vie, je n’ai pas le temps. Moi aussi j’ai des trucs importants à faire, moi aussi j’ai envie de penser à moi.
Je n’ai pas fait Bout de vie pour avoir des copains et encore moins des amis, juste transmettre ; ce qui m’a permis de m’en sortir. Je ne vais pas dans les anniversaires, les mariages, les jours de l’an parce que je m’y ennuie à mourir, je sais, je suis spécial, mais tu verras dans mon deuxième bouquin le témoignage de Dume Benassi est éloquent. Il m’offre ce témoignage car c’est le frère que je me suis choisi et moi aussi il m’arrive de le bastonner mais on est un peu des jumeaux. Il me cerne en un chien pourri qui va de temps à autre secouer les autres.
Ça me va très bien comme description, j’en suis assez fier.
Le reste ? Je suis bien seul au milieu de ce qui fait peur à beaucoup de monde, la nuit et le froid des ténèbres.
Mes amis je les compte sur le bout des doigts et ils sont comme moi, à moins que ça ne soit moi qui suis comme eux.
Je vais continuer la croisade Bout de vie parce que ma petite voix dit que c’est bien, parce que je me souviens que j’étais vraiment seul quand j’ai eu la jambe arrachée, c’est tout !
Rien ne sert de briller si tu n’éclaires personne, ce n’est pas de moi mais de Dumé.
Voilà ma poule, je suis heureux que tu aies enfin réagi, je te croyais déjà mort ou timide sur mes manières de crier ma chance d’être vivant.
Cet après-midi j’ai regardé la pluie tomber, putain que c’était bien!!!
A pluche
Très amicalement
Le Cabochard
Et tout le monde peut réagir je ne vais pas mordre, euh enfin pas de suite!!!
Merci Frank , c’est quand les idées s’affrontent que naît l’énergie du changement. J’aime échanger avec toi avec qui je me permet des choses que d’autres prendraient pour de la provocation. tu sais le respect et l’amitié que j’ai pour toi . J’espère que tu sais ma fidélité
qui n’a d’égal que ma franchise.
Jean Luc
No comment ………….
Je vous adore tous les deux, c’est un vrai plaisir d’assister à cet échange de personnalités différentes et pourtant complémentaires. Que l’on se place d’un côté ou de l’autre la vérité est bonne à entendre. Restez vous même ils ont besoins de vous!!!
Comment:
Quand le chemin est dur à suivre, c’est que l’on commence à suivre sa propre voie.
Je crois que c’est de moi. Bise Un fils entier !!! Presque !!!
Je l’ai enfin ta citation !!!
Commettre des erreurs est le propre de l’humain, mais il est diabolique de persister dans l’erreur par orgueil.
Bien à vous.
Neveu, ne dénigre pas le « génie » de l’homme; oui il y a des musées ils sont là pour nous faire connaitre notre passé culturel, philosophique, pense que l’homme sans passé n’a pas de futur. Tu parles de dame nature, les anciens disaient Dieu!!! Regarde un oiseau, une fleur tu n’y vois que la main de la nature ? Observe et tu trouveras la main de Dieu. Je ne suis pas cul-béni, je suis rosicrucienne alors parle du « Grand architecte » si le nom de Dieu te blesse. Je t’embrasse tendrement
Bonjour Monique,
Wouaah!
Je me réjouis de voir que vous réagissez, la réaction entraîne l’action.
Je ne dénigre rien, mais j’ai le droit de penser à haute voix? Bien sûr nous avons besoin de notre passé pour construire le présent. Où je suis désolé, c’est de voir à quel point mes contemporains ont des oeilléres, avec toutes les possibilités que l’on peut avoir autour de nous sans parler d’expédition lointaine et couteuse. Je visite très souvent les classes et je suis surpris de l’ignorance des enfants envers le basique: la Nature.
Ensuite, où je suis en rogne c’est devant la religion et ses dérivées qui nous prouvent chaque jours sa perfidie. Un pape qui patauge dans des paillettes d’or en passant des messages monstrueux et des mères Térésa qui donnent de l’amour dans une vie de pauvreté extrême. Quand des barbus lapides des femmes amoureuses du voisin, quand des hommes excisent les jeunes filles au nom de Dieu…
Toutes ces cathédrales, mosquées, synagogues, temples, pour quoi faire??? Réunir les brebis égarées et leur insuffler la bonne route à suivre, à dénoncer l’impure. L’homme y a peint, sculpté, gravé des œuvres qui ne sont plus de l’art mais de la propagande! Je choque peut être! Je ne veux pas suivre la route comme un mouton. A force de me retrouver en milieu naturel, je m’ouvre comme une fleur à la rosée. Je ne vais pas épiloguer sur la surconsommation, je passerai pour un mec qui radote. C’est comme une prière de fouiller la nature pour cueillir des asperges, rien ne se passe quand je suis dans un musée où des « œuvres » sont des objets morts à double voire triple sens. Bien sûr, je ne conseille rien, pire je ne pense rien des autres, chacun est devant son miroir,encore faut il avoir le courage de se découvrir.
Voilà mon raisonnement, pour parler catho, on fait un pata caisse d’un homme mort sur la croix il y a deux mille ans. Depuis quand la terre existe? Des milliards d’années. N’y a t-il rien eu avant, les hommes étaient ils sans cerveau, cœur, âmes, amour. Certains machiavéliques n’ont ils pas profiter de la faiblesse des hommes apeurés devant la mort pour créer tout ceci?
Je vois de mes yeux à quel point tout cela est devenu dangereux, ma crainte est de voir les humains s’entretuer pour des causes absurdes…
Je ne veux ni faire mal, ni renier d’où je viens, ni ma famille, j’ai eu le « bonheur » de perdre une jambe qui progressivement m’a amené sur un chemin lumineux et apaisant…
Mais j’aime me livrer à des pensées à haute voix.
Heureusement que le Christ est mort sur la croix, s’il avait été noyé vous auriez un bocal au dessus du lit… Coluche ( mon idole)
je ne pensais pas que toi tu arriverais a cette haine pour l’humanité, cela me peine. Rentre en toi je t’en prie et réfléchi, l’homme n’ai pas fait pour vivre seul mais avec ses frères aussi imparfait soient ils. L’aime aussi la nature, je respecte les religions et les pensées des hommes, moi aussi d’une autre façon par ma nature j’ai été crucifiée même par les miens mais je n’ai pas de rancoeur, ces épreuves m’ont donné l’Amour et le Pardon. L’homme a eu besoin de batir des cathédrales c’était un acte d’amour et non d’esclavage, ils s’élévaient vers la création. Un Pape, un Imam, un Pope ne sont que des hommes, je n’ai pas besoin d’eux j’ai seulement besoint d’aimer les Hommes. Toi je t’aime plus que tout au mondre alors je « prie »(façon de parler) pur que tu trouves la paix envers ces petits hommes, ces petits dieux. Ne pas être un mouton ne signifie pas partir en live. Penses y
Assemblage de cellules venues de la nuit des temps : « rien ne se crée tout se transforme » nous sommes des hommes et rien de ce qui est proprement humain ne saurait nous etre étranger. je suis une vie, je suis mille vie. la verité est caché la au fond de moi au fond de nous. la lueur de cette lumiere de verité certain on voulu la partager avec l’art, d’autre ont voulu se l’accaparer avec les religions certain pour le pouvoir, certains pour le partage encore une fois ces transformations qui sont le cours même de la vie. un jour surement enfin la paix, plus de mal, plus de bien , plus d’art, plus d’horreur, plus d’humains sur terre, plus de discours, plus de parole, seule la nature : ouf
En attendant vivons fort. et une phrase de bouddha qui pourrait être de frank ou de chacun d’entre nous
Vivez comme si vous deviez mourir demain, apprenez comme si vous deviez vivre toujours. Bouddha.
Je ne vois pas Monique où dans mes mots, où mes actes il y a de la haine, j’aime la vie plus que tout au monde.
Prends ton temps pour relire mes écrits. Je vais vers les autres, ai-je besoin de te décrire l’énergie que je déploie pour aider mes petites sœurs et mes petits frères amputés. Je le redis, tout ces gens, papes et autres dérivés sont des dangers à mes yeux, mais je vais clore ce débat.
Nul n’est plus sourd que celui qui ne veut entendre.
J’ai des potes de toute obédience ! Et je me régale à en discuter. Quel fût mon discours devant le cercueil de mon parrain, tu ne te rappelles plus? De l’amour c’est tout ! Alors qu’il était prêtre baptiste.
J’ai la chance d’avoir une tribune alors je m’exprime. Je n’oblige personne à penser comme moi. Je pense à haute voix. Je n’ai aucune prétention de vouloir changer qui que ce soit. Un clic et ce blog peut être supprimé de l’écran, facile, non ?
La semaine dernière j’ai reçu une lettre de 5 pages d’un homme profondément chrétien qui a choisi d’être baptisé maintenant, en tant qu’adulte. J’ai lu sa lettre avec respect même si elle est aux antipodes de mes convictions. Il me remercia de mon livre!!! Bizarre, non?
Non je ne crois pas.
Il y a vu de l’espoir c’est tout. Une sorte de mission d’aider les autres. Ma religion façon Cabochard. Transmettre de l’énergie positive. Donner, non ! Offrir, de l’amour de la vie, car même avec des bouts en moins le présent est un cadeau…
Je ne fréquente aucun temple c’est vrai mais je me bouge les fesses pour aider mon prochain…
Pour finir avec mon correspondant, je lui ai répondu et joint un petit cadeau pour le remercier. Je ne vois pas de violence ou de méchanceté, tu parles de haine…
Vivez comme si vous deviez mourir demain, apprenez comme si vous deviez vivre toujours. Bouddha.
Il me plait ce mec Bouddha, si je le croise je monte une expédition avec lui.
Allez Monique courage demain il fera soleil…
Pour conclure tous ces mots… Sans jeux de maux…
Des jours que je pagayais sur le Yukon, soudain là bas sur la berge je vis un animal, doucement je m’en approchais. C’était un homme. Je m’asseyais à coté de lui et je compris que c’était mon frère…
Tres beau débat philosophique .permettez-moi de citer Bouddha:
Nous sommes ce que nous pensons.Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées.Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde
..,Bouddha
Cette pensée a du être écrite pour vous Frank ……
Merci Nadine; toujours les mots qui touchent.
Bise à vos deux hommes