Finalement la machine à vider les tripes s’est arrêtée et le vent a pris la bonne direction (nord, 10 n?uds). La yole est stable est la vie à bord n’est plus un enfer ! Le moral est repassé au beau fixe car ce départ fût un véritable calvaire.
Nous avons choisi la route des alizés qui nous assure une bonne navigation mais du coup nous voyons les autres partir comme des balles de tennis. Ca casse le moral et en plus de ça avec une mer hachée de travers : « faut vraiment être cabochard pour s’obstiner sur ce cap ! » Mais les autres c’est leur histoire…